
À la fin des années trente, il critiquera l’Union soviétique et Staline, ce qui le fâchera avec la gauche, qui le portait aux nues comme un écrivain social.
Prolifique, il le fut aussi dans ses relations amoureuses. De son propre aveu, H. G. Wells était incapable, du fait de sa nature, de refuser les avances d’une femme.
L’écrivain David Lodge dépeint un homme aux goûts de géant, qui domina la littérature anglaise de la fin du XIXe siècle jusqu’à 1929.
Un homme de tempérament de David Lodge aux éditions Rivages, 720 pages, 24,50 euros.
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